1 - La vie
❒ A. Du bon côté
❒ B. Du côté de chez Swann
❒ C. À côté
2 - Le jugement
❒ A. Spontanément
❒ B. Suffisamment
❒ C. Sempiternellement
3 - La forme
❒ A. Pour soi
❒ B. Pour moi
❒ C. Pour toi
4 - La télé réalité
❒ A. Du voyeurisme
❒ B. De l’exhibitionnisme
❒ C. Du j’men foutisme
5 - La foi
❒ A. Prier
❒ B. Méditer
❒ C. Sans avis
6 - Changer, c’est
❒ A. Accepter
❒ B. Écouter
❒ C. Observer
7 - Vous devez de l’argent
❒ A. Ça vous tracasse
❒ B. Ça vous ennuie
❒ C. Ça vous est égal
8 - Les dons d’organes
❒ A. Non, je suis croyant(e)
❒ B. Oui, c’est normal
❒ C. Je ne veux pas y penser
9 - Le passé
❒ A. Trop lourd
❒ B. Trop indigeste
❒ C. Trop ancien
10 - La planète Terre
❒ A. Souffre
❒ B. Se régénère
❒ C. Se débrouille
11 - Déguster
❒ A. Un taboulé de la mer
❒ B. Une côte de boeuf
❒ C. Un dos de loup grillé
12 - Toute absence vous est
❒ A. Insupportable
❒ B. Évolutive
❒ C. Utile
13 - Une existence facile
❒ A. Je me méfie
❒ B. Je m’inscris
❒ C. J’y réfléchis
14 -
Le dimanche signifie
❒ A. Gastronomie
❒ B. Rêverie
❒ C. Ennui
15 - Un concours
❒ A. Traumatisant
❒ B. Déconcertant
❒ C. Paralysant
16 - Le jardin
❒ A. De vos rêves
❒ B. De vos amours
❒ C. De vos délires
17 - Une devinette
❒ A. J’ai passé l’âge
❒ B. Je passe mon tour
❒ C. Un passe-temps
18 - Les statistiques
❒ A. Vous n’y croyez pas
❒ B. Vous n’adhérez pas
❒ C. Vous adorez
19 - Richard Gere
❒ A. Un utilisateur
❒ B. Un exemple
❒ C. Une marionnette
20 - La parole
❒ A. D’honneur
❒ B. Donneuse de leçons
❒ C. Donnée
21 - Les gens cultivés
❒ A.Vous les recherchez
❒ B. Vous les fuyez
❒ C.Vous les rencontrez
22 - Le yoga
❒ A. Une mode
❒ B. Un mode de vie
❒ C. Un mode d’emploi
Pour effectuer votre bilan, calculez vos points dans la grille de lecture ci-après :
A B C1
1 2 3
2
1 2 3
3
2 1 3
4
3 1 2
5
2 1 3
6
3 1 2
7
1 2 3
8
1 2 3
9
1 2 3
10 :arrow:1 2 3
11 :arrow:3 1 2
12 :arrow:1 2 3
13 :arrow:2 1 3
14 :arrow:3 1 2
15 :arrow:2 1 3
16 :arrow:2 3 1
17 :arrow:2 1 3
18 :arrow:1 3 2
19 :arrow:2 3 1
20 :arrow:1 2 3
21 :arrow:1 3 2
22 :arrow:1 3 2
De 22 à 25 points
Tout vous inquièteC’est dommage… Vous avez l’habitude de voir en premier le côté négatif des situations. Difficile ensuite pour vous d’optimiser vos réactions. Tout est source de souci, ce qui vous fatigue de surcroît. Ce processus aggrave votre penchant pour les scénario catastrophes qui finissent par arriver ! À force d’attendre la tuile que vous redoutez, vous la recevez. Certes, vous cherchez à vous rassurer en vous persuadant que deux précautions valent mieux qu’une. Mais votre entourage craque et se lasse.
Votre comportement anxieux présente tout de même un avantage : vous avez appris à vous relaxer. Cependant, les résultats escomptés ne sont pas vraiment ceux que vous espérez puisque vous développez toujours l’angoisse de ne pas avoir encore expérimenté la bonne méthode. Par voie de conséquence, toujours en recherche du mieux, vous commencez malgré tout à avoir de sérieux acquis en matière d’outils favorisant le lâcher prise. Ce qui vous rend attachant(e) car une chose est sûre : avec vous, point de conflits. Par contre, vous souffrez de désillusions fréquentes, n’allant jamais jusqu’au bout de vos expérimentations ! Arrêtez tout naturellement de penser que le meilleur n’arrivera que demain. Pour une simple et bonne raison : votre quotidien a systématiquement un goût d’amertume. N’entretenez plus ces noyaux durs d’insatisfaction. Comment ? En observant vos journées et en vérifiant à chaque instant que celles-ci contiennent et offrent ouvertement les solutions à vos problèmes. Il suffit juste pour cela de vous appliquer à constater que le plus est contenu dans la minute présente.
De 26 à 42 points
Tout vous fait planer...Attention aux dérives possibles et aux décollages redoutables. Que zen, yoga, méditation, sophrologie, rebirth et autres axes de recentrage sur soi se fassent l’écho d’une bonne interrogation, d’accord, mais à condition toutefois de ne pas vous emballer. Nous ne sommes pas enclins systématiquement à répondre constructivement à toutes les techniques proposant du santé/bien-être. Il faut apprendre à faire des choix. Comment ? Vos indicateurs personnels sont en veille permanente. Les connecter est un jeu d’enfant : une interrogation logique permet de savoir si la pratique qui vous attire correspond à votre profil. Pour obtenir une réponse fiable, souvenez-vous de la façon dont l’information concernant cette pratique vous est parvenue. S’agit-il d’une excellente amie qui vous en a parlé ou des colonnes d’une revue que vous appréciez car vous la trouvez sérieuse ? Ou est-ce votre conjoint, en qui vous avez toute confiance et qui est un sujet stable et raisonnable ? À l’inverse, si cet enthousiasme pour une méthode, quelle qu’elle soit, est arrivé jusqu’à vous par l’intermédiaire d’une personne ou d’un magazine que vous n’affectionnez pas, méfiez-vous. Votre inconscient cherche ainsi à vous mettre en garde quant à une discipline qui, même si elle n’est pas à mettre en cause, n’est pas pour vous. Il faut savoir accepter la réalité. Il faut accepter, surtout, d’y voir clair. Notre individualité ne saurait se satisfaire d’une uniformisation facile. D’ailleurs, vous le savez. Au point même que depuis quelque temps déjà vous fuyez toute source d’influence possible. Vous rêvez moins car vous avez compris qu’on ne peut pas toujours se fier aux apparences. Votre sagesse vient du fait que vous avez subi à plusieurs reprises les désagréments d’une trop grande confiance accordée alentour. Vous avez même compris que le nomadisme intempestif génère, lorsque l’on atterrit, d’obligatoires remises en cause compliquées. Décidément, tout n’est pas fatalement bon pour soi. Osciller d’un désir à un autre offre peut-être l’avantage d’expériences mais ne permet pas de s’ancrer dans son identité. C’est sûrement pour toutes ces raisons que vous avez enfin intégré le fait qu’à la réflexion la paix intérieure est souhaitable. C’est elle qui nous guide et nous protège. Basiquement, en quittant le leurre d’un univers idéal, vous commencez à entrevoir que tous les chemins ne mènent pas inexorablement à la sérénité. Seul, le renoncement à " tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil" vous y conduira.
De 43 à 66 points
Vous êtes zen !Belle récompense pour vous car ce n’était pas gagné d’avance. Effectivement, qui vous a connu(e) il n’y a pas si longtemps encore, peut rester médusé tant vous êtes transformé(e). Vous, autrefois maximaliste, développez maintenant l’art du minimalisme. Vous ne vous encombrez plus de raisonnements complexes. Vous refusez carrément d’être pollué(e) par la moindre mésaventure. Vous n’admettez pas plus que votre entourage vous entraîne dans la spirale infernale de tracas inutiles. C’est ainsi que les embouteillages routiers sont devenus réservoirs d'auto-analyse, que les querelles professionnelles vous permettent de séparer l’ivraie du bon grain, que les désaccords familiaux vous donnent l’opportunité et la permission de
ne plus fréquenter les pros du conflit. Votre philosophie de vie fait des envieux. Sont-ils cependant prêts à payer ce qu’il vous en a coûté pour en arriver là ? Pas si sûr car atteindre ce niveau de sagesse requiert un
long et laborieux travail. Apprendre à se préoccuper de l’essentiel passe par un deuil souvent douloureux : celui du détachement de toute forme de matérialisme. Paradoxalement, ce cheminement introspectif a entraîné le précieux détachement qu’il fallait opérer avec quelques uns de votre environnement. Être zen consiste donc à quitter tout élan fusionnel. Cet état salvateur exige, en parallèle, d’être à l’écoute de soi dans un premier temps. Vous y êtes parvenu(e) mais comment ? Céder à la tentation de vouloir porter secours à tout bout de champ va à l’encontre de la défusion. Pour accéder à cet état, vous avez développé humilité et modestie. En d’autres termes, vous avez pris, progressivement, la bonne habitude de ne traiter qu’un problème à la fois. Ce nouveau comportement a entraîné, bien sûr, des résultats positifs qui vous ont désangoissé(e) peu à peu. Vous avez réalisé que vous abritiez les ressources nécessaires pour faire face aux aléas de l’existence. Celle-ci est petit à petit devenue un jeu. À force de remporter de jolies parties, vous voilà maintenant solide et en attente tranquille du quotidien. Ces acrobaties n’ont plus de secret pour vous. Votre astuce : vous répéter à plusieurs reprises dans la journée le terme suffisamment : suffisamment expliqué, suffisamment lu, suffisamment réfléchi. Cette belle habileté se décline alors instinctivement en : " J’ai suffisamment d’argent ", " J’ai suffisamment de temps ", " J’ai suffisamment de bibelots ", " J’ai suffisamment d’activités "… C’est grâce à tout cela que le zen a pris place de façon efficace dans votre vie. Suffisamment, quoi qu’il en soit, pour que l’on ait envie de faire comme vous…